Le rang de planelles (20 cm de haut) fixé au-dessus des parpaings a permis de couler la ceinture en béton ferraillé: solution proposée par le maçon pour ne pas avoir à interrompre la ceinture pour le passage des portes si nous avions choisi la solution monomur+bambous; au-dessus, nous pourrons placer une rangée de briques monomur moins haute (15?) mais que nous n'aurons pas à casser et qui sera malgré tout suffisante pour l'isolation du bas du mur. De plus, il faut dire que nous callions pour trouver les bambous; ça ne court pas les rues par ici, ni les jardins; les gens ont plutôt des cannes de Provence, qu'ils appellent bambous du fait de la forme ou du comportement mais qui n'en ont ni la dimension ni la solidité !
Dans la ceinture, le maçon a placé les tiges filetées préparées par Jean-Luc pour fixer plus tard le bois ( lisse basse ) qui vient sous la paille.
Le charpentier est venu faire un relevé des dimensions et est très satisfait; tout se présente donc bien; il n'y a plus qu'à espérer qu'il tienne ses délais pour que mi-avril, on voie se dresser la charpente.
Pendant ce temps, à l'abri à la ferme, Jean-Luc nous fabrique un escalier bien costaud-pas cher pour descendre à la cave.